Translittérature ATLF

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FOCUS

"Traduire le poème sinophone"

Emmanuelle Péchenart : Sandrine, l’atelier que tu as mis en place sepoursuit depuis cinq ans. Quelle idée a présidé à sa création ?

Sandrine Marchand : L’idée a germé en 2014 ; il s’agissait de libérer un espace réservé à la traduction de poésie, d’offrir un temps long, lent, dans un lieu réservé, à l’écart. Je cherchais à mieux respirer et à offrir à toute personne qui le souhaitait un « bol d’air » en traduction, loin du travail de forçat soumis aux contraintes éditoriales, loin de tout... Je souhaitais aussi mettre la poésie à l’honneur, et considérer la traduction comme une création à part entière : faire que le traducteur devienne poète en traduisant de la poésie et que le poète devienne traducteur. Pour cette raison, l’atelier commence toujours par la lecture de poésie contemporaine en langue française, car si on ne lit pas ses contemporains, comment peut-on prétendre traduire de la poésie étrangère contemporaine ou moderne ?

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DERNIER NUMÉRO

À LIRE DANS LE N°62

CÔTE À CÔTE

The Waste Land de T. S. Eliot, « a piece of rhythmical grumbling »

Histoires comme ça – Just so Stories Little Children (1902) de Rudyard Kipling

DOSSIER

QUAI DES LANGUES.

La traduction : une passerelle pour les primo-arrivants. Entretien avec Margot Nguyen-Béraud

Images et Traductions

À Marseille, enchantement d’une nouvelle graphie

Atelier des 9, 10 et 11 mai 2022

À la rencontre d’une classe de collégiens nîmois

Un apprentissage à double sens pour les animateurs et les participants

LA CHAÎNE DU LIVRE

Librairie Librebook, Bruxelles. Des livres et des langues

Entretien avec Ève Vila. Revue Graminées

FIGURE DE TRADUCTEUR

Entretien avec David Pathé-Camus. L’intégrale Lovecraft

Entretien avec Maïca Sanconie. "Ils écrivent, ils traduisent"

LECTURES

Haute montagne – Hochgebirge

Le désir de traduire

BRÈVES

Du côté des prix

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